Enfin les résultats!
13 kms:
Olivier B. 1h23min 173e/381
Alexia 1h29min 243e/381
Valérie 1h36min 292e/381
24kms:
Benjamin 2h41min 211e/325
Bravo!
42kms:
Yanis s'est blessé :(…..un p'tit tour en Hélico!
Soigne toi bien et reviens nous en forme!
jeudi 29 mai 2014
mercredi 28 mai 2014
Le Grand Raid 73: 15h20 de bonheur !
Ce 24 mai était pour moi un objectif, une porte à ouvrir,
une bouffée d’orgueil.
Suite à mon échec à la Saintélyon 2012, à mon abandon à
Soucieux (48ekm) pour « épuisement moral » je m’étais juré de
dépasser cette faiblesse pour un jour être finisher et reprendre confiance.
Sous les conseils de Floris, et ne souhaitant pas me lancer
seul dans une nouvelle galère, je me suis inscrit au Grand Raid 73.
73km, 4800m de dénivelé au cœur du massif des Bauges, ça
promet… L’édition 2013, avait été marquée par d’importantes chutes de neiges
obligeant les organisateurs à un parcours de repli. Florent et Floris avaient
pourtant gardé un souvenir assez positif de cette édition.
Pour me préparé à ce raid, j'avais programmé, en mars les 42km et 1800m de D+ des Cabornis ainsi qu'un semi-marathon, et en avril les 38km et 1800m de D+ du trail de la Drôme à Buis les Baronnies.
Cette année nous sommes donc 4 de la MJC Monplaisir à nous
inscrire à ce raid, Loïc, Floris, Florent et moi.
Pour notre confort et pour rendre agréable le week-end, Loïc,
Floris, moi et nos compagnes respectives avions loué un gite dans un village
voisin. Mais le départ étant prévu à 5h du matin, nous avons peu profité de la
nuit de vendredi à samedi…
Florent, de son côté, a passé la nuit dans son van comme à
son habitude avec Yves un de ses potes avec lequel il a déjà été finisher de 2
Sainté, et une 6000D.
Nous nous rejoignons donc tous à sur la ligne de départ. Le
ciel étoilé et la fraicheur matinale nous promettent un temps magnifique.
5h, le clap de départ retentit. Nous sommes près de 300 à
nous élancer sous une arche éblouissante de flambeaux.
Floris et Loïc partent vite, je ne cherche pas à les suivre.
Avec Yves et Florent, nous partons cool. Je m’interdis de faire monter mon cœur
dans le rouge. Je me limite à 160bpm.
Les premiers hectomètres sont en pente douce au milieu des
vignes de Cruet. Alors que les frontales scintillent et serpentes le long des
pentes, les premières lueurs du jour apparaissent et laissent se dessiner peu à
peu les sommets enneigés de Belledonne.
Arrivés dans le sous-bois la pente s’intensifie, nous sommes
partis pour 800m de D+ en 4km. Le peloton est calme ; est-ce l’heure
matinale ?, est-ce le stress des nombreux kilomètres qui nous attendent ?
ou bien est-ce simplement pour profiter du réveil de la nature et du chant des
oiseaux ?
Lorsque les premiers rayons de soleil nous illuminent, nous
en profitons pour faire une pause, manger une barre et enlever une épaisseur. Par
la suite Florent et moi perdons de vu Yves, moins bien préparé. Il abandonnera
à mi-course.
Sans peine, plongés dans nos discussions, nous parvenons en
haut de la première pente. Se succèdent par la suite de nombreux points de vue
qui nous laissent admirer les différents sommets ensoleillés qui surplombent la
vallée de l’Isère et de Chambery, Granier, Nivolet, Massif de L’Epine, la dent du Chat, puis
vers le sud le Vercors avec le Veymont et le Mont Aiguille qui s’en détache.
Entre ces points de vue, de courtes portions en monotraces
ludiques nous font traverser des clairières riches en couleurs. Muguet,
pissenlit, ail des ours, orchidées, gentiane, trolle et autres renoncules vont
parsemer notre chemin sur l’ensemble du parcours.
15e km, une bonne descente nous fait rejoindre La
Thuile puis son Lac où nous attend le premier ravitaillement au 18ekm.
On se recharge un peu, banane, barre de céréales, tuc.
Florent reprend de l’eau. Puis on repart, nous en sommes à 3h20 de course.
Florent commence à me distancer. Je surveille mon cardio qui ne m’autorise pas
à le suivre. Dès que je dépasse les 160bpm, je sens mon œsophage se spasmer. Je
laisse donc Florent partir. Dommage, on aura passé un bon moment ensemble.
Nouvelle difficulté, 700m de positif en à peine 4km. Ca passe bien, je
ne cherche pas à courir. Mes batons me supportent bien. A la sortie d’une
portion forestière, nous tombons nez à nez avec la pointe de la Galoppaz. Très belle pente
herbeuse de 200m de positif à plus de 30%. Le moral reste bon et me permet
d’entamer sereinement l’ascension.
Au loin, j’aperçois Florent qui semble garder aussi la forme.
Les pointeurs du sommet s’amusent de leurs voix fortes à
nous faire accélérer en nous menaçant de la barrière horaire (qui on le sait est au moins 2h derrière nous).
Arrivé au sommet après 5h30 de course, le paysage est
grandiose. L’ensemble de notre parcours se dessine devant nous avec tout au
fond (très loin au fond…) le Grand Colombier, point culminant du Grand Raid.
Je regrette de ne pas pouvoir prendre de photo à ce moment.
Mais bon d’autres en prendront pour nous.
Puis suit une longue descente irrégulière jusqu’aux Côtes de
Gueulets (32ekm) où nous attend un salutaire ravitaillement en eau. Lors de
cette descente je croise deux coureurs pour qui la cheville a malheureusement
vrillé qui abandonneront à ce niveau.
Nous rejoignons enfin la petite station des Aillons par un
chemin vallonné.
Les Aillons est une étape clé au 39ekm, avec près de 2000m
de dénivelé déjà avalés. Si je parvenais jusqu’ici en forme, j’aurais de
grandes chances de finir. C’est donc à ce point stratégique que j’avais demandé
à Anne-Claire de venir me ravitailler. Floris avait prévu de même, Stéphanie et
Soline l’ont aussi retrouvé à ce niveau.
J’arrive donc en forme aux Aillons après 7h de course. Je
retrouve Anne-Claire, Stéphanie, et Soline confortablement installées sur
l’herbe au soleil. Florent et Floris viennent de partir.
Je prends mon temps pour me restaurer. Soupe, pain, fromage. Je vide mes poches (6pompotes, 3 barres de Céréales et 2
barres de Polenta maison consommées sur les chemins). Je remplis ma poche à
eau. Je recharge mon sac de 6 pompotes, 2 barres de Polenta et des barres de
céréales. Mon moral est aussi rechargé à bloc, merci pour cet instant de repos
en compagnie de nos chères et tendres.
30min après, je repars. 18km et plus de 1400m de dénivelé
nous attendent avant le prochain ravitaillement avec au milieu la fameuse
ascension du Grand Colombier. Ça va être long…
On commence par un premier mur en lacet de 300m de positif,
on redescend de 150m puis on entame les 900m de dénivelé positif de l’ascension
du Colombier. Il est 13-14h, le soleil commence à être haut. Heureusement jusqu’à
1500m d’altitude, nous montons sous la protection des arbres.
Le peloton est désormais bien étiré. Chacun monte à son
rythme. Je parviens à doubler 5 ou 6 coureurs. Un petit névé nous rappelle qu’il
y a quelques semaines la neige était encore présente à cette altitude. Avant de
sortir définitivement de la forêt, au bord d’une source, je m’arrête, prends
une barre de polenta pour me recharger en sel et mouille bien ma casquette en
prévision du soleil.
Col de la Cochette, 1600m, c’est le début de la phase finale
de l’ascension du Colombier. Le parcours prévoit à ce niveau une boucle nous
faisant passer par les arêtes sud puis nord du Colombier. 3km et un mur de 300m de positif
à beaucoup plus de 30%.
Avant de me lancer, je croise Florent qui lui en finit avec
cette boucle. Pour lui le moral est au beau, pour moi… c’est différent…
Mais l’ascension
du mur se passe relativement paisiblement. Mes batons sont mes meilleurs amis. Pour faire
passer le moment, je discute avec un coureur que je suis depuis un petit
moment. Lui est un habitué des longues distances, UT4M, CCC, Diagonale des Fous… Je
resterai avec lui un bon moment. Par contre, la soif m’envahit peu à peu et je parviens
difficilement à me désaltérer. Je m’oblige à m’arrêter pour boire une grande
quantité d’eau, reprendre un peu de polenta pour le sel et me vider une
pompote pour le goût. Bien joué, je reprends un peu de jus…
Au sommet, à 2045m, la vue est grandiose. Au sud-ouest, nous
voyons le Pointe de la Galoppaz et les Aillons d’où nous venons. Au nord, le
lac d’Annecy, surplombé de la Tournette. Plus loin, le Mont Blanc se couvre de
nuages. Et vers le sud-est le Mont Pelat avec son ravitaillement nous attend (
et nous attendra encore quelques heures…).
Puis c’est la descente. Tout d’abord un peu vertigineuse le
long de l’arête sur le sentier caillouteux puis peu à peu la pente autorise à
relever les batons.
Je double un coureur pour qui l’ascension du Colombier aura
eu le dessus. Il veut rendre son dossard au col de la Cochette. Il n’est pas
blessé mais n’arrive plus à trouver la force de courir. Connaissant bien son
état et sachant qu’il n’est pas irréversible, je l’encourage à prendre du temps
avant de prendre la décision d’abandonner et à surtout bien se nourrir. Je le
laisse. Je ne sais pas s’il aura réussi à passer le cap.
Je passe le col de la Cochette après 10h50 de course avec un
grand sourire cette fois-ci.
Puis on descend en pente plus douce pour rejoindre (enfin)
la forêt et se réfugier dans sa fraicheur.
Il reste 11km avant le ravitaillement du Mont Pelat. Ma réserve en eau
est quasiment vide. Heureusement des signaleurs nous permettent de remplir nos
poches avec l’eau d’une source voisine.
Une longue, très longue portion de crête en forêt nous
rapproche lentement très lentement du Mont Pelat.
Un instant d’euphorie me fait
perdre mon compagnon de course. Durant une vingtaine de minute, je me suis
surpris jouer avec les monotraces, sauter par-dessus les rochers, relancer en
montée… Mais J’ai appris par expérience à me méfier de ces instants d’euphorie.
Ils précèdent souvent un coup de moins bien. J’anticipe donc en prenant une
pompote.
L’arrivée au Mont Pelat se fait attendre. Peu à peu le coup
de moins bien appréhendé se fait ressentir. Apparemment il y a pire coup de moins bien que le mien
car je continue à reprendre des places sur les autres coureurs.
12h30 de course, je parviens enfin au sommet du Mont Pelat.
Un barbecue nous y attend avec des frites et des diots. Mais je me demande
quels coureurs peuvent ingurgiter des diots après 12h30 de course… Je prends
une soupe, je remplis ma poche à eau complètement vide et après 20min je
repars.
Par la suite le chemin est moins intéressant. Nous
descendons le long d’une piste de ski puis d’une piste forestière. Malgré le
manque d’envie, je parviens toujours à courir dans les descentes et sur le
plat. Je continue de gagner 2 ou 3 places.
Après une nouvelle pompote, une envie pressante m’oblige à
mettre le clignotant sur la gauche… je reperds les 2 places que j’avais gagné.
Je repars. Après un dernier col, nous quittons
définitivement la piste forestière pour reprendre un nouveau monotrace. A ce
niveau, une longue portion en dévers nous fait souffrir une dernière fois avec
de bonnes montées. Désormais nous sommes passés sur le versant à l’ombre de la
montagne mais c’est aussi le versant sur lequel se trouve Cruet et la fin de
notre calvaire. Derrière moi un coureur a des râles inquiétants. Ça m’agace. Je
suis à deux doigts du lui demandé d’arrêter quand je me rends compte que ce
sont en fait des hauts-le-cœur. Dommage pour lui. Mais il continue à bien
courir et me dépasse à chaque fois qu’il se sent mieux…
Enfin c’est la descente finale. Les genoux sont encore bien solides
et permettent de courir malgré une bonne pente. Dernier ravitaillement à
Monlambert où les bénévoles nous font profiter de leur enthousiasme. Même s’il
ne reste que 4,5km de descente, je suis prudent et reprend une
dernière soupe de peur de craquer dans cette dernière portion.
Je continue de remonter sur les coureurs qui me précèdent et
en dépasse 2. Le coureur qui avait des hauts le cœur s’accroche à mon rythme.
Des enfants sur le bord du chemin nous annoncent encore 2km.
Petite remontée dans une forêt et voilà Cruet en vue !
On arrive dans le village. Je laisse mon suiveur me doubler
voulant profiter seul de mon arrivée.
On tourne un peu dans le village et enfin je passe la ligne
d’arrivée !
Anne-Claire, Florent et Floris m’y attendent et seront d’ailleurs
mes seuls spectateurs à l’arrivée. Et oui il est tard, il est 20h20 et je suis
parti il y a 15h20min.
Pas de grandes émotions sur la ligne mais des yeux
remplis de la beauté des paysages rencontrés et une grande satisfaction d’être arrivé au bout,
d’avoir su surmonter mes démons et une grande joie de finir en relative bonne
forme, sans blessure et sans aucune ampoule aux pieds. Comme quoi ce fut
peut-être trop facile ;-)
Loic et Floris sont arrivés quasiment coude à coude après
respectivement 13h12 et 13h20 de course. Florent a fini plus calmement en 14h.
Par la suite nous sommes retournés au Gîte pour nous réchauffer
et débrieffer de cette belle journée jusqu’au lendemain.
Voilà le récit de mon premier long trail.
Des jambes bien
préparées, une bonne gestion du cardio, de l’alimentation et des boissons m’a
permis de prendre du plaisir sur l’ensemble du parcours. Le temps et la beauté
du paysage ont aussi beaucoup joués pour préserver le moral et garder une
motivation au plus haut niveau. La recette paraît simple mais demande à être
éprouvée lors d’autres épreuves…
A SUIVRE...
PS:voici un bel échantillon de photos d'un coureur généreux: https://www.flickr.com/photos/akunamatata/sets/72157644785136276/
lundi 26 mai 2014
Trail de l’Oisans 50 km, un trail authentique !
Chaussée de ma nouvelle paire de
Salomon à peine rodée de 10 km, j’ai pris le départ pour ce trail de 2 900 m D+ avec enthousiasme teintée
d’inquiétude. Cette dernière ne portait pas seulement sur la crainte d’ampoules
mais sur mon état de résistance suite à 2 semaines de troubles de sommeil.
Allure très tranquille, des
petites difficultés d’équipement m’ont rapidement fait classer en dernière
position… Ce fut d’ailleurs l’occasion de discuter avec le serre-file :
UTMB, objectifs de saison et entraînements, du papotage courant entre
coureurs !! ;) Ainsi, la 1ère boucle fut très agréable et
plutôt roulante. On nous avait prévenu lors du briefing sur le parcours que le
trail commençait vraiment qu'à partir de la fameuse montée de Malaine vers le 20ème
km.
Et quelle terrible montée !
Parmi de nombreuses ruines, je n’ai jamais autant
peiné… : fatigue, perte d’équilibre, visions étranges… L’abandon me vint à
l’esprit. Fort heureusement, c’est à ce moment-là qu’un participant m’a rejoint.
Sur ce parcours, nous n’étions que 31 ; cette providentielle compagnie m’a
redonné du courage ! Le délicieux ravitaillement du 30ème km
m’a permis aussi de reprendre des forces (humm, de la bonne tome et du pain frais !).
Nous avons effectué ensemble la
montée jusqu’au point culminant (2 092 m) puis je l'ai quitté aux
abords du lac Fourchu. Quel magnifique paysage !!!
![]() |
Lac Fourchu |
![]() |
Taillefer en arrière plan ! |
Monotraces, névés, flaques
boueuses, racines, rocailles, sources à traverser : des millions d’obstacles
naturels (et je les ai tous comptés) m’ont bien fait comprendre que
j’effectuais un véritable trail en montagne !!! Un trail authentique et
sauvage où l’on ressent la bienfaisante solitude et où l’on découvre la beauté
de la nature et toute sa force… Tel cet angoissant passage d’un cours d’eau
qui m’a tétanisé : assourdissant, il prenait la forme d’un torrent
effrayant…
La longue descente fut plus douce
et arrosée de quelques averses. Encore 3 km de montée pour rejoindre le col
d’Ornon et après 8h35 de course, c’est avec sourire et discrétion que j’ai
franchi la ligne d’arrivée. Un généreux lot de cadeaux m’attendait !!!
Un modeste double podium pour
moi… 3ème féminine et 1ère SEF !!!! Trop facile…
J’avais rapidement repéré au départ que nous n’étions que 3 femmes dont j’étais
la plus jeune, lol ! Un faible nombre de participants, un beau passage sur
crête, une montée éprouvante, un magnifique lac gelé, la proximité du Taillefer, une
longue descente agréable et la gentillesse de bénévoles… le trail de l’Oisans, c’est du
bonheur 100 % !!!
Courir pour elles
Et oui! Nous étions 2 parmi les 7000 filles en rose ce Dimanche 25 Mai, au parc de Lacroix Laval!
Comme chaque année, courir pour une très bonne cause: la lutte contre les cancers des femmes.
Au programme, échauffement collectif en musique, puis Waka Waka endiablée
Départ à 10h30 pour 10 kms
Pas de perf' visée, juste du plaisir et de la solidarité féminine, avec le soutien des copains, des maris, des papas et des enfants…..
d'après nos montres: 55min pour Béa; 59min pour Odile
Le classement…..est accessoire !
Women Monplaisir team en 2015?
Comme chaque année, courir pour une très bonne cause: la lutte contre les cancers des femmes.
Au programme, échauffement collectif en musique, puis Waka Waka endiablée
Départ à 10h30 pour 10 kms
Pas de perf' visée, juste du plaisir et de la solidarité féminine, avec le soutien des copains, des maris, des papas et des enfants…..
d'après nos montres: 55min pour Béa; 59min pour Odile
Le classement…..est accessoire !
Women Monplaisir team en 2015?
dimanche 25 mai 2014
Grand Raid 73
Carton plein ce week end du côté des Bauges, puisque nos 4 traileurs ont brillament terminé le GR73 !!!
Le menu était copieux : 73km et 4800m d+ !!! heureusement aidé par des paysages et un temps magnifique.
Loic : 13h12m43s - 92/234
Floris : 13h20m39s - 97/234
Florent : 14h00m48s - 127/234
François : 15h19m57s - 181/234
Bravo à eux, bonne récup et je pense qu'ils ne manqueront pas de nous faire un petit retour de ce samedi ensoleillé!
Yanis
Le menu était copieux : 73km et 4800m d+ !!! heureusement aidé par des paysages et un temps magnifique.
Loic : 13h12m43s - 92/234
Floris : 13h20m39s - 97/234
Florent : 14h00m48s - 127/234
François : 15h19m57s - 181/234
Bravo à eux, bonne récup et je pense qu'ils ne manqueront pas de nous faire un petit retour de ce samedi ensoleillé!
Yanis
mardi 20 mai 2014
Ultra Boucle de la Sarra
Valéry a représenté la MJC ce WE avec brio:
Son équipe, Les Seigneurs de l'Anneau, termine 20ème sur 53
Bravo les Seigneurs!
Son équipe, Les Seigneurs de l'Anneau, termine 20ème sur 53
Bravo les Seigneurs!
Trail des 7 cols
Une magnifique performance pour Kévin ce WE
42 kms; 2230 D+: 4h32min
classement: 6e sur 35
WAOUH!!!!
Bravo!
42 kms; 2230 D+: 4h32min
classement: 6e sur 35
WAOUH!!!!
Bravo!
dimanche 4 mai 2014
Trail du Nivolet Revard: 4 Mai 2014
Le joli mois de Mai commence fort pour la MJC Monplaisir!
51kms:
Floris 232e/424 ; 7h19min36s
Cédric 423e/424 ; 9h24min24s
27kms:
Laure 282e/420 3h38min25s
Bravo !
51kms:
Floris 232e/424 ; 7h19min36s
Cédric 423e/424 ; 9h24min24s
27kms:
Laure 282e/420 3h38min25s
Bravo !
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